En achetant des fleurs du Kenya, des fruits du Chili ou encore du bœuf du Bostwana, les consommateurs occidentaux aggravent sérieusement la sécheresse des pays en voie de développement. royal academy of engineering C’est l’accusation portée par un rapport britannique de la Royal Academy of Engineering, qui vaut pour tous les pays industrialisés. Selon ce document, chaque britannique « utilise » 3 000 litres d’eau importée par an : pour 1 kilo de bœuf, il faut en effet quelque 15 000 litres d’eau, plus de dix fois le volume nécessaire pour le même poids de blé. Autre exemple, la fabrication d’un tee-shirt nécessite 2 700 litres d’eau. Le rapport estime que les deux tiers de « l’empreinte eau » de la Grande-Bretagne sont en fait « importés », via les produits alimentaires et autres biens achetés dans des pays qui ont besoin de beaucoup d’eau pour les fabriquer et les transporter alors qu’ils en manquent cruellement. Pour lire la suite un click sur le lien
commenter cet article …