Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : Le blog de Martine Frappin
  • : Martine Frappin est candidate ps aux élections de 2008, pour le canton de Montauban-de-Bretagne. Femme de gauche avant tout, elle est particulièrement engagée dans les questions de l'environnement et du développement durable.
  • Contact

Bonjour à tous !

" Je vous encourage dès maintenant à me faire parvenir vos remarques et vos doléances, car je souhaite être la candidate du renouveau, de l'ouverture, et du dialogue. Cet espace d'échanges vous est  donc destiné et sera quotidiennement complèté gâce à votre participation."
Merci à vous
                                                                                                                      Martine F.

Archives

6 mai 2011 5 06 /05 /mai /2011 21:37
merci pour votre mail
nous sommes les parents de Coline
Elles se battent et à 9 voix contre 8, nous nous devons d'agir ,d'autant plus qu'il y avait 18 élus
Pouvez vous faire un petit + encore en faisant circuler le mail  ci dessous
encore merci pour elles --- Original Message -----
--------------------------------------

 

RENDEZ VOUS AU TY LOCOUET à GRÂCES à  côté de GUINGAMP (22)

 

samedi 14 mai

 

à partir de Midi

 

Campesinas, campesinos, urbanas, urbanos, banlieusardas, banlieusardos !!!!


"La décision d'attribuer les terres à l'aggrandissement d'une ferme de 110 ha, par 9 voix contre 8, n'est pas une bonne décision pour nous et nous nous devons donc avoir une réaction à la hauteur des enjeux.


Cette décision va faire l'objet d'un recours et, en parallèle, nous devons amplifier la mobilisation et aller occuper les terres ainsi que procéder à l'installation symbolique de Coli
ne et Gaël. C'est une réattribution très politique de la part de la safer qui ne veut pas donner l'impression de céder devant des  porteurs de projets soutenus par une opposition large.

Nous devons  plus que jamais en faire un cas d'école et appeler à une mobilisation très large.

Et si nous étions en capacité de rassembler plus de 500 personnes un  samedi midi pour procéder à l'installation symbolique de Coline et Gaël?!!!!"


Nous n'aurons peut-être pas Ty Losquet mais cette lutte doit servir à tous les paysans en devenir qui sont confrontés à ce genre de pratiques douteuses, des pratiques de latifundios* !!!

Les Zamis, nous avons besoin de vous !!!!!



Où ? Ty Losquet, à Grâces (22), facile à trouver à côté de Guingamp
http://fr.mappy.com/#d=Ty+Losquet,+22200,+Gr%C3%A2ces,+Bretagne,+France&p=map



QUAND ? le samedi 14 mai 2011 à partir de midi...

Apportez nourriture et boisson de quoi tenir jusqu'au soir. On se charge du barbecue...
Apportez vos musiciens et vos souliers afin de guincher, histoire de décompresser

Si le soleil nous fait faux bond, faut pas s'inquièter, de beaux et grands hangars nous abriterons...

*http://es.wikipedia.org/wiki/Latifundio

Partager cet article
Repost0
4 mai 2011 3 04 /05 /mai /2011 19:54

Confédération

Paysanne 22

Saint-Brieuc, le 22 avril 2011

LETTRE OUVERTE

AU CONSEIL DADMINISTRATION DE LA SAFER-BRETAGNE

Les membres du Conseil d’administration de la SAFER réunis le 3 mai prochain s’apprêtent à

attribuer la ferme de Ty Losquet sur la commune de Grâces à l’un des 3 candidats à l’installation

retenus.

Le Comité technique de la SAFER a émis un avis d’attribution à une candidate dont les parents

d’une cinquantaine d’années sont installés sur une exploitation de 95 ha avec 310.000 l de quota

laitier et un poulailler de 1 200 m² de dindes de chair. La Communauté de communes de Guingamp

vient récemment de lui attribuer 14 ha de terres en location, ce qui porte la surface de l’exploitation

à près de 110 ha.

Nos organisations, unanimes, considèrent que cette exploitation agricole est suffisamment

développée pour qu’elle soit en mesure d’attendre désormais une éventuelle autre opportunité pour

résoudre ses problèmes de réaménagement foncier, que personne ne songe à nier, tout en

permettant l’installation progressive de cette jeune femme. L’objet de l’attribution est l’installation

et non pas le regroupement des terres. Nous notons que le candidat à l’achat des terres est le père,

la fille étant candidate à l’achat des bâtiments, ce qui nous laisse perplexe.

Le second projet d’installation équin ne nous paraît pas être une priorité pour l’activité agricole,

aussi, sans l’écarter a priori nous pensons qu’il peut aussi attendre une autre opportunité.

Face à ces deux candidatures, deux jeunes femmes, avec conjoints et enfants, ont un projet

d’installation avec brebis laitières en agriculture biologique, avec transformation à la ferme et

vente directe. Elles ont un accord bancaire de financement, leur projet est viable ! Pour elles qui

ont visité de nombreuses fermes, le site avec les 12 ha de terres groupées est idéal, à proximité de

Guingamp avec des bâtiments facilement aménageables pour abriter leur troupeau, mais aussi pour

y aménager leurs habitations. Elles ne sont pas filles d’agriculteurs, aussi, pour elles, mettre la

main sur les premiers ha est une véritable épreuve conditionnant leur installation. Ces candidates

hors cadre familial, en production bio et vente en circuit court sont en plein dans les débats qui

animent la profession et la société. Quel message recevraient les candidats hors cadre familial,

appelés à la rescousse par tous pour renforcer les installations si une fois encore certains d’entre

eux se voient refuser l’accès au foncier ?

Quel message le public recevra-t-il si une installation en production intensive se voit préférée à une

installation en agriculture biologique au moment de la mise en musique des objectifs du Grenelle

de l’environnement et en plein débat sur les algues vertes ?

RTF

Il est urgent pour l’avenir et l’image de la profession agricole que les jeunes candidats à

l’installation soient véritablement accueillis et non pas comme trop souvent considérés et traités

comme des gêneurs venant contrarier les plans d’agrandissement de certains agriculteurs en place.

Les stratégies de restructuration individuelles d’exploitation déjà développées ne doivent pas

primer sur l’installation en agriculture.

L’urgence est à la création d’emplois dans le secteur de la production. De quel crédit la profession

qui se plaint de manquer de main d’oeuvre pourra-t-elle se prévaloir demain si elle refuse d’intégrer

ceux qui veulent y travailler ?

1 600 exploitations se libèrent tous les ans et vont, pour la plupart, à l’agrandissement. Alors,

lorsqu’un projet d’installation nouveau voit le jour, il serait urgent de le considérer comme étant

d’intérêt public. Ici ce sont deux emplois sur une structure peu gourmande en foncier qui

dépendent de votre décision.

De nombreux pays, tout comme celui de Guingamp, ont inscrit dans leur charte la volonté de voir

se développer sur leurs territoires une agriculture diversifiée, à même de répondre aux besoins de la

population locale tout en étant un exemple en terme de respect de l'environnement. Ces aspirations

mobilisent beaucoup d'énergie ainsi que des moyens financiers importants via des programmes

financés par l'Europe, le Conseil Régional et les Conseils Généraux bretons, ou encore les

Communautés de communes... Pour quels résultats si les organismes tels les SAFER font obstacle

à des projets répondants aux attentes des citoyens ?

Enfin, pour tordre le cou à un argument qui circule et qui tente de décrédibiliser Coline et Gaël,

elles se sont bien intéressées à une ferme sur la commune de Trédrez Loquémau. Suite aux

nombreux contacts qu’elles ont pris avec des élus pour les informer qu’elles recherchaient un site

pour s’installer, Joël Le Jeune, le maire de Tredrez leur a signalé une ferme qu’elles sont allées voir

et qui s'est avérée sans siège d’exploitation. Les héritiers ont en effet racheté la maison d'habitation

située, qui plus est, en plein dans un village densément peuplé. Du coup, leur bel espoir s'est envolé

rapidement en fumée, faute de réunir les conditions d'habitat indispensable à l’installation des deux

familles. Laisser entendre qu’elles font les difficiles ou qu’elles ne savent pas ce qu’elles veulent

est donc très tendancieux.

Nous vous demandons donc d’attribuer la ferme de Ty Losquet à Gaël et Coline en vous annonçant

que nous faisons et que nous ferons de ce cas particulier un symbole des difficultés rencontrées par

les porteurs de projet de ce type d’installation, ce que nos organisations dénoncent régulièrement.

 

François Salliou,

Président d’Accueil Paysan

 

Rémi Le Mézec,

Président d’Agriculture paysanne

 

Dominique Le Calvez

et Patrick Thomas,

co-présidents du CEDAPA

 

Gérard Bricet,

Président de la FRCIVAM

 

Thierry Thomas,

porte-parole de la

Confédération Paysanne

 

Erwan Kergadallan,

Président du GAB d’Armor

 

Korentin le Davay ,

responsable départemental du MRJC

 

Emmanuel Louail,

pour le mouvement RTF

 

Jean-Sébastien Piel,

co-président de Terre de Liens Bretagne

Partager cet article
Repost0
4 mai 2011 3 04 /05 /mai /2011 19:48

Terres agricoles. La difficulté de jeunes porteuses de projet

http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/cotesarmor/terres-agricoles-la-difficulte-de-jeunes-porteuses-de-projet-03-05-2011-1288639.php

3 mai 2011 - Réagir à cet article


Plusieurs organisations paysannes soutiennent l'installation, à Grâces, de deux jeunes agricultrices bio. «Un cas particulier, symbole des difficultés rencontrées par ce type de projet».

Gaël Le Jeune, 38 ans, mère de trois enfants, rentre à peine d'un stage intensif de quatre semaines au Pays Basque. Coline Sorel, elle, vient d'accoucher. Les deux jeunes femmes se sont rencontrées au Rheu (35), lors de leur formation financée par la Région Bretagne, un brevet professionnel responsable d'exploitation agricole (BPREA), option production laitière et transformation. Ensemble, elles montent un projet «peu gourmand en foncier», créant leurs deux emplois: constituer un cheptel de 120 brebis laitières bio avec transformation à la ferme (fromage basque type ossau iraty, yaourt, beurre) et vente directe. Parce qu'elles ne sont pas filles d'agriculteurs, elles doivent se mettre à la recherche de terres, de préférence dans le Trégor. Pendant un an et demi, elles parcourent près de 60.000km, interpellant les maires de petites communes, jusqu'à tomber sur l'exploitation idéale, 14ha de terres groupées, à proximité de Guingamp, avec des bâtiments facilement aménageables pour abriter leur troupeau mais aussi pour installer les deux familles. La banque donne son accord de principe; le projet, estimé à 220.000 €, est viable.

 

la suite sur le site du télégramme ci-dessus

http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/cotesarmor/terres-agricoles-la-difficulte-de-jeunes-porteuses-de-projet-03-05-2011-1288639.php

Partager cet article
Repost0
19 avril 2011 2 19 /04 /avril /2011 22:38

Livraison prochaine des paniers

 

contact: amapbro@orange.fr

 

tél: 06 86 84 57 51

Partager cet article
Repost0
25 mars 2011 5 25 /03 /mars /2011 19:49
Paysan, il vend ses légumes bio en paniers - Landerneau

http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Paysan-il-vend-ses-legumes-bio-en-paniers-_29103-avd-20100204-57611073_actuLocale.Htm

 

jeudi 04 février 2010

Florent Palicot, jeune maraîcher, a choisi la vente directe, via une toute nouvelle association. Ce jeudi, le premier rendez-vous, c'est chez lui !

 

Je me suis installé à La Forest depuis un peu plus de deux ans, moi qui étais un citadin de Rennes ! J'ai été cuisinier pendant pas mal d'années avant de reprendre mes études. Après un passage éclair par la fac, j'ai fait un BTS agricole, et j'ai découvert l'agriculture bio pendant mes stages.

J'ai repris les terres d'un agriculteur qui a fait du maïs pendant quinze ans. Pendant deux ans, j'ai laissé la terre reprendre ses droits. Choisir de vendre en direct mes produits via une Amap (Association pour le maintien d'une agriculture paysanne) a été une démarche naturelle : c'est de notre génération !

Pour commencer, je me suis associé à un copain qui vendait ses légumes grâce à une Amap de Brest. Désormais, je vais me consacrer à la nouvelle association de Landerneau avec Rudy David qui est maraîcher à Ploudaniel.

« Commerce équitable local »

Avec nous, il n'y aura pas de tomates en hiver ! On suit les saisons. Quelqu'un qui n'aime pas le chou aura du mal à acheter des paniers en hiver, même si on essaye de diversifier ! D'ailleurs, le fait de travailler à deux permet de proposer une variété de légumes bien plus importante.

L'Amap est un système intéressant qui propose aux gens une autre façon de consommer. On est un peu plus cher ? Oui, mais on est aussi « durable ». Des productions ont été tellement subventionnées que les gens ont perdu le sens de la réalité des prix.

Pour moi, il s'agit vraiment de commerce équitable local. Ça valorise le tissu local, les petits producteurs qui font du bio. C'est un échange « gagnant-gagnant » entre le producteur et le consommateur. Et c'est un gros pied de nez aux grandes surfaces et à leur système de vente.

Chaque producteur choisit ce qu'il va proposer dans les paniers. Les ventes sont prévues, les gens avancent l'argent. Ça nous permet de planifier, en quelque sorte, même si en bio, ce n'est pas toujours facile ! Enfin, on a quand même moins de perte.

Ce qui m'intéresse aussi dans les Amap, c'est la relation qu'on a avec les gens. Ce sont eux qui confectionnent leurs paniers. Ce temps-là est un temps d'échange, très agréable.

Les adhérents s'engagent aussi à donner des coups de main dans les champs. Ça leur permet de découvrir comment ça se passe.

Recueilli par

Nelly CLOAREC.

Partager cet article
Repost0
23 décembre 2010 4 23 /12 /décembre /2010 23:10

voir l'excellent article sur le site

BIO ADDICT

http://www.bioaddict.fr/article/coup-de-frein-gouvernemental-sur-l-agriculture-bio-a1315p1.html

 

Le projet de loi de Finances 2011 qui vient d'être adopté par le Sénat réduit de moitié le crédit d'impôts sur les revenus accordé aux agriculteurs convertis à l'agriculture biologique. Après l'environnement, le bio ça commence à bien faire ?... Accusés de produire des aliments contenant des substances toxiques pour la santé du fait de l'usage intensif de pesticides de synthèse, d'appauvrir la terre par le recours massif aux engrais chimiques pour avoir des rendements de plus en plus élevés, d'assécher les cours d'eau pour irriguer les plantes, et de détruire la biodiversité, beaucoup d'agriculteurs gérant de petites exploitations se sont convertis à l'agriculture biologique, malgré les contraintes règlementaires très importantes, et les risques financiers. Et ils ont été encouragés dans cette démarche par différentes aides accordées par l'Etat : aides financières à la conversion et au maintien, remboursables, et aide fiscale annuelle sous forme de crédit d'impôts lorsque au moins 40 % des recettes proviennent d'activités relevant du mode de production biologique. Le montant du crédit d'impôt étant égal à 2 400 euros, majoré de 400 euros par hectare exploité selon le mode de production biologique dans la limite de 1 600 euros, soit un maximum de 4000€.
Ce crédit d'impôts avait été retenu pour remettre un peu de justice dans l'attribution des aides en ciblant surtout les petites structures qui n'en percevaient pas ou très peu.

Ces aides, le Gouvernement avait bien compris qu'elles étaient nécessaires pour développer rapidement l'agriculture biologique, et pour atteindre les objectifs fixés par le " Plan Agriculture bio " lancé en 2007, à savoir la conversion de 6% de notre surface agricole en production bio en 2012, et 20% en 2020.

Et elles ont été relativement efficaces puisque la barre des 20 000 exploitations agricoles bio a été franchie en octobre dernier. Fin juillet 2010, on comptait 3000 nouvelles exploitations bio par rapport au 31 décembre 2009. Ce qui représentait un rythme de conversion en augmentation de 30% par rapport à la même période de l'année dernière.

Pour autant les terres agricoles bio ne représentent aujourd'hui que 2,5% de la surface agricole française. On est donc encore très loin des objectifs du " Plan Agriculture bio ".

Le développement de l'agriculture biologique est pourtant une nécessité criante. En termes de santé publique bien sûr, car, faut-il le rappeler, le lien entre les pesticides retrouvés dans les produits agroalimentaires et un nombre croissant de maladies, dont le cancer, ne fait plus aucun doute. En termes d'environnement aussi car la biodiversité est, on le sait, gravement menacée par l'utilisation des produits chimiques. En termes d'emplois encore car dans les 15 prochaines années, 40% des agriculteurs vont partir à la retraite. Or les jeunes ont besoin de motivation pour prendre la relève. Et pour beaucoup d'entre eux l'agriculture biologique représente un espoir, un travail noble, et une véritable mission qu'ils ont envie de mener. Enfin en termes économiques, le développement de l'agriculture bio est indispensable car la demande en produits bio ne cesse d'augmenter. Et il est évidemment préférable d'encourager la production agricole bio sur nos terres riches et abondantes, plutôt que d'importer massivement des produits dont, par ailleurs, la certification bio n'est pas toujours garantie, du fait d'une réglementation beaucoup plus laxiste dans nombre d'autres pays, y compris de la Communauté Européenne, comme l'a démontré une enquête publiée par notre confrère L'Expansion.

Lire : Produits bio importés : faut-il les boycotter ?

Des économies qui vont nous coûter cher

Ce n'était donc vraiment pas le moment de réduire l'aide fiscale accordée aux agriculteurs bio car nul doute que cette mesure va décourager beaucoup de candidats à la conversion et peut être même en amener d'autres à arrêter le bio.

Ce coup de rabot fiscal, qui va affecter essentiellement les petites exploitations, et qui ne rapportera à l'Etat que l'équivalent de 16 millions d'euros, risque en fin de compte de coûter beaucoup plus cher qu'il ne rapportera.

José Vieira

A lire aussi : Dossier spécial alimentation et produits bio : ce que garantit le logo bio européen

L'agriculture bio en pleine expansion

Partager cet article
Repost0
12 novembre 2010 5 12 /11 /novembre /2010 23:20

Quelques infos utiles :

index.jpg

-une AMAP (Association pour le Maintien de l'Agriculture Paysanne) est en cours de constitution à Montauban ;

si tout va bien, elle devrait livrer ses premiers paniers au mois de mai.

D'ici là, il faut trouver une trentaine de familles intéressées.

On s'engage à payer d'avance un panier par semaine de légumes de saison, cultivés à proximité (ici Quédillac) de façon biologique. Et à participer bénévolement, à tour de rôle, à la distribution des paniers, dans un lieu fixe de Montauban.

On peut aussi être amené parfois à donner un coup de main au maraîcher, Christophe... en toute convivialité !

Grâce à ce système qui se développe un peu partout, des producteurs parviennent à vivre correctement de leur travail.

Plusieurs personnes se sont déjà inscrites, 

merci de faire circuler cette info afin que l'AMAP puisse se monter rapidement. panier-paysan.jpg

 

Renseignements : Christophe Regeard 02 99 45 23 90

Partager cet article
Repost0
13 juin 2010 7 13 /06 /juin /2010 10:12

BIENVENUE DANS MON JARDIN  http://martinefrappin.over-blog.fr/10-categorie-10401609.html


Aujourdhui, dimanche 13 juin de 10 H à 19 H

 

les Jardins de Toucanne ouvrent leur portes.


Chez Louis Collet à Boisgervilly(35)

 

près de Montauban de Bretagne,

entre Saint Brieuc et Rennes


Possibilité de pique niquer sur place


www.fermesouvertesbio.fr

 

 

découverte de l'agriculture bio sur une ferme


ateliers techniques: Maraîchage sous tunnels

maraîchage en plein champ

découverte des animaux

 

Venez voir les magnifiques vaches Pie Noire Bretonnes, les volailles

le jardin de fleurs

producteur de fromage de chêvre (Laurent HIGNET de Paimpont)

et bien d'autres animations encore

 

vente de fruits et légumes biologiques

en vente directe et circuits court, (l'appovisionnement en Direct)


 

Partager cet article
Repost0
31 janvier 2010 7 31 /01 /janvier /2010 20:16



Samedi 6 février, 19h30 à Romillé (35)

Projection-débat Un autre jardinage !

Les ColocaTerre, association écocitoyenne


Obtenir de belles récoltes, des plantes saines, un jardin écologique… sans travail du sol, sans engrais, sans pesticides. Projection en présence du réalisateur – Entrée gratuite.

Stéphane Aissaoui, avec sa société « Agro Vidéo » veut promouvoir une agriculture propre, respectueuse des sols et durable, utilisant moins de pétrole, moins de traitements et aucun engrais chimique. Depuis plusieurs années, il filme des agriculteurs et jardiniers qui témoignent de leur expérience réussie grâce à la méthode du sol vivant.


Dégustation de soupes d’hiver « maison » (2 €) et de crêpes (1 €).


Contact : les.colocaterre@laposte.net ou 06 07 15 31 24 ou www.colocaterre.org

Partager cet article
Repost0
2 août 2009 7 02 /08 /août /2009 21:51
Prochainement à Montauban de Bretagne, ouverture d'une boutique bio. Nous allons pouvoir trouver plus près de notre domicile, les céréales, pâtes, légumineuses, fruits secs en vrac. (produits de base, indispensables à l'alimentation végétarienne), les  légumes, fruits, et autres aliments également.
Nous pourrons y trouver les huiles essentielles, cosmétiques non toxiques pour notre corps et produits d'entretien pour notre maison.
Des livres sur l'alimentation, bio, végétarienne, sur l'aromathérapie, sur l'aménagement de nos maisons, l'utilisation des peintures inoffensives pour la santé etc........
Plus besoin de faire des kilomètres pour trouver tout cela, c'est dans l'air du temps, des magasins bio s'ouvent ici et là, dans les villages, à la grand satisfaction des consommateurs.

Coordonnées:  9 rue du Général de Gaulle
lundi                                          matin                           après midi
                                                  fermé                       14H 30 - 18H 30
mardi à samedi                9H 30 - 12H30           14H 30 - 18H 30
dimanche                           9H 30 - 12 H 30                 fermé

petiteterredecampagne@live.fr

Partager cet article
Repost0